William Leymergie a traversé une descente aux enfers après la perte de son épouse. Il a pu compter sur le soutien de Sophie Davant sur ce moment difficile mais important pour son équilibre.
William Leymergie a traversé un drame personnel lorsque sa femme, Maryline Robin, est décédée après 45 ans de vie commune. Le décès est devenu publique en juillet 2021, un événement survenu en juin 2020. L’animateur est resté silencieux, choisissant de garder cette épreuve pour lui, malgré la douleur immense et la peine. Sa discrétion, sa retenue et sa réserve ont marqué sa carrière à la télévision, ce qui explique pourquoi il a pris du temps avant de rendre publique sa relation avec Sophie Davant, un choix même important pour sa reconstruction.
William Leymergie et Sophie Davant : entre complicité et soutien
Anciennement collègues, Sophie Davant et William Leymergie ont choisi de révéler pour la première fois leur histoire d’amour dans le dernier numéro de Paris Match, une relation longtemps tenue discrète par respect pour les enfants de l’animateur de Télématin, encore bouleversés par la perte de leur mère Maryline. Nous tenions avant tout à respecter le chagrin et le deuil des trois enfants, qui ont perdu leur mère en juin 2020, une femme perdue à l’âge de 20 ans, une violence et une sidération profondes, a confié la maman de Valentine et Nicolas.
Elle s’est montrée présente dans cette période difficile, quand William a perdu sa femme, et elle était l’une des premières appelées, l’ayant soutenu comme elle a pu, téléphonant régulièrement, sans imposer, car elle savais que ses enfants étaient très présents et l’entouraient beaucoup au quotidien, a-t-elle ajouté.
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Un lien qui s’est transformé en amour
William Leymergie et Sophie Davant ont pris leur relation à une nouvelle dimension en partageant un premier week-end ensemble chez Sophie. Il était absent, ravagé, dévasté, et ses enfants étaient son refuge. Il avait un mariage réussi avec sa femme depuis quarante ans, mais sa vie a été interrompue.Petit à petit, Sophie est devenue son repère, le faisant rire, réinvité, revenu, recommencé à chambrer, et il revenaitpeu à peu à la vie. Williamadore se moquer de moi, toujours, comme le souvient-elle après un dîner, retour de Grèce, où ils ont dînétous les deux. Leur histoire a débuté, le couplesembleinséparable, avec beaucoup de chance, à entendre et bien, reconnaîtWilliam.