Lors du 1er décembre, France 2 diffusait un nouveau numéro de Complément d’enquête consacré à CNews. Tristan Waleckx a été invité sur Quotidien de TMC et a évoqué la pression qui pèse sur lui et ses équipes depuis la diffusion de son enquête.
Dans le dernier numéro de Complément d’enquête diffusé sur France 2 le 27 novembre, les journalistes de France Télévisions se sont intéressés à la méthode de CNews. Tristan Waleckx et ses équipes ont été au centre de cette enquête, qui a exploré la frontière entre infos et désinfo. La chaîne concurrente de BFM TV, souvent considérée comme la reine des clashs et des polémiques, est également analysée pour sa ligne éditoriale conservatrice. Les salariés, dont Pascal Praud, n’ont pas été indifférents aux révélations, soulignant l’impact réel de chaque numéro et de son traitement médiatique.
Depuis 2010, Tristan Waleckx s’est imposé comme figure phare de la chaîne et journaliste de 61 ans, connu pour ne pas mettre sa langue dans sa poche. Au lendemain de la diffusion de Complément d’enquête sur France 2, son édito a mis en lumière les couacs du programme d’investigation de France Télévisions depuis ses débuts. L’Arcom a rappelé Tristan Waleckx à l’ordre à deux reprises, tandis que le bandeau affichait pour les téléspectateurs : “tout ça pour ça”, reflétant parfaitement les propos de Pascal Praud. Cette expérience montre l’importance de chaque émission et la rigueur nécessaire pour tenir un journaliste engagé.
Lors du 1er décembre sur TMC, Tristan Waleckx et Lilya Melkonian ont répondu aux questions de Yann Barthès à propos d’un reportage récent. L’intervention de Cécile Alduy, experte de Stanford et sœur d’un dirigeant de France Télévisions, a également été discutée. Les journalistes ont précisé qu’il n’y avait pas de conflit d’intérêts, bien que cette information ait été suivie par Pascal Praud, soulignant l’importance de la diffusion et des débats dans la polémique médiatique.
Tristan Waleckx balance : les appels de Pascal Praud
Le patron de Complément d’Enquête a assuré dans Quotidien que Pascal Praud, dès le lendemain de la diffusion, l’avait contacté pour évoquer Cécile Alduy, sœur de Manuel Alduy, et les infos liées au site. Il a précisé que tout relevait de la filière cinéma de France Télé, que cela concernait le cinéma et non l’info, et qu’il n’y avait aucun conflit d’intérêts. Tout a été appris à postériori, rappelant combien la transparence et la rigueur restent essentielles dans le traitement médiatique.
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Lors d’un échange avec Yann Barthès, Tristan Waleckx a raconté comment Pascal Praud l’appelait régulièrement. Certains jours, au téléphone, il engueule, parle et fait parfois n’importe quoi, laissant une panique passagère. Il peut miroiter une interview pendant des semaines, mais reste étonnamment serein. Ces propos reflètent le cours de récré médiatique et ne manquent pas de faire réagir le principal intéressé, soulignant combien la pression dans ce rôle est constante et intense.