Depuis que Quentin Mosimann est sorti diplômé de la saison 7 de Star Academy en 2008, il a bâti une carrière solide dans la musique, qui rapporte beaucoup depuis.
Ce samedi, le 29 novembre 2025, la Star Academy s’annonce électrique, un peu comme l’énergie de Quentin Mosimann lors d’un prime parfois bouleversé par une règle exceptionnelle. Une période pleine comme une semaine de destins liés, où les élèves découvert chaque mercredi soir les résultats des évaluations, et où deux binômes sont officiellement nominés : Jeanne, Léo, Lily, Théo L.
Lors de ce prime, les académiciens comme Théo L., Jeanne, Léo et Lily sont exposés pour la première fois à une seconde nomination. Les téléspectateurs doivent sauver l’un des deux duos, tandis que l’autre verra son sort tranché individuellement par les votes des camarades, une mécanique rarissime qui peut provoquer un départ cruel. Ce prime promet tension, performances inédites, et un verdict qui peut tout changer, avec la présence de Gims, Tina Arena, Superbus et Linh.
De la Star Academy aux Dream Tracks
À 37 ans, Quentin Mosimann, Franco-Suisse, majeur dans le monde de la musique, observe son parcours avec amusement et gratitude. Dix-sept ans après sa victoire à la Star Academy, l’artiste DJ classé six reprises parmi les cent meilleurs du monde, producteur, compositeur recherché, et récemment chroniqueur sur France Inter, glisse-t-il que faut environ quinze ans pour réussir du jour au lendemain, une évidence qu’il aime dire dans Paris Match, rappelant la tension de cette époque où tout s’est joué.
Après le post-Star Ac, les débuts de Quentin Mosimann ont été marqués par de nombreux essais, erreurs et explorations. Son premier album, Duel, révèle une double ADN entre jazz, variété et électro, mais il comprend vite que sa voix n’est pas son destin. Ce qui l’anime, c’est la scène et la musique électronique. En 2012, il assume sa mue avec le titre Je suis DJ, puis enchaîne les résidences dans des clubs, participe à des festivals internationaux, occupe une place récurrente dans le DJ Mag Top 100, et tient un rôle de juré dans The Voice Belgique.
Ces dernières années, Quentin Mosimann a tout changé avec son concept des Dream Tracks, des morceaux composés en direct avec des personnalités comme Alain Chabat, Bob Sinclar, Florent Manaudou ou Katseye. Sur TikTok, ses vidéos deviennent virales, et son humour ainsi que sa bienveillance séduisent une nouvelle génération. Parfois ça marche, parfois ça flop, mais tout commence par une discussion et un peu de folie, raconte-t-il, donnant à ses ses fans une expérience unique et proche de lui.
Le jackpot pour Quentin Mosimann
En rentrée, Quentin Mosimann, artiste, multiplie ses collaborations avec Grand Corps Malade, Louane, Patrick Bruel, Cecilia Krull, et présenté son dernier titre, Halo, aux NRJ Music Awards. Son album prévu pour 2026, accompagné d’un Dream Tour presque complet jusqu’aux Zénith parisiens, montre son talent et ajoute une nouvelle corde à son arc. Chaque mercredi matin à 8h55, sa chronique sur France Inter offre un espace personnel pour dire des choses intimes et importantes, comme il soupçonnais, confie-t-il, renforçant son image d’artiste authentique.
Quentin Mosimann, artiste de légitimité artistique, a construit un véritable empire financier. Son passage de chanteur à DJ a été révélé pour sa redoutable efficacité. Dès 2014, il confiait toucher 7 000 € pour deux heures de mix en France, et beaucoup plus en Asie ou au Moyen-Orient. Un an plus tard, Capital révélait qu’il avait déjà gagné plus d’un million d’euros en une année, un vrai et véritable succès qui illustre parfaitement sa carrière.
À ses débuts, les exigences de Quentin Mosimann faisaient réagir : jet privé à 10 000 € pour deux jours, suite dans un hôtel 4 étoiles minimum, chauffeur privé, et cachet de 12 000 € la soirée. La demande était telle que les promoteurs s’y retrouvaient largement. En parallèle, Quentin Mosimann, professeur à l’école des DJ de l’UCPA à Lyon, auteur, producteur, compositeur, a structuré une carrière très rentable, diversifiée et internationale, montrant ainsi son professionnalisme et son succès.
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Un milieu modeste
Aujourd’hui, la vie de Quentin Mosimann est un équilibre parfois précaire entre travail et passion. Guerre dans son agenda, s’amuse-t-il, il vit entre Paris, la Suisse et le Sud de la France, et compose parfois dans la crêperie familiale de son père. Il s’étonne toujours de remplir des salles des mois à l’avance, montrant que, malgré un milieu modeste, son talent et sa détermination restent toujours encore présents dans son quotidien.
Quentin Mosimann a gagné beaucoup, mais il a surtout investi dans sa musique et dans son équipe pour préserver sa liberté artistique. Il confie qu’il a participé à la Star Ac pour aider sa mère, et en dix-sept ans, il a transformé ce jeu télévisé en une carrière internationale solide. Sans fanfaronner, il incarne une véritable réussite économique, montrant que lui, qui a travaillé en silence, a su bâtir un parcours exemplaire.
Aujourd’hui, Quentin Mosimann partage son impression que l’on l’écoute encore. Ce samedi soir, alors que de nouveaux candidats tenteront leur chance sur TF1, son parcours reste la preuve qu’un DJ peut encore, parfois, émerger d’un télé-crochet. Qui sait quand viendra son tour, mais son talent et sa persévérance montrent qu’il reste toujours dans le cœur du public.