Reg revient sur sa vie après le divorce avec Kevin Debonne en 2024. Inès explique comment elle a retrouvé un amour et partage cette annonce pour révéler sa nouvelle étape de vie.
Après sa séparation d’un couple célèbre, Reg revient sur les moments difficiles qu’elle a vécu récemment. L’humoriste Inès raconte comment les réseaux sociaux se sont transformés en déferlante de jugement et d’insultes suite à l’annonce de son divorce avec le comédien Kevin Debonne en 2024. Invitée dans l’émission Conversations avant la fin du monde, elle explique les attaques, commentaires cruels et la pression liée à sa transformation physique et à sa notoriété, impactant sa réputation et son émotion. Chaque expérience, récit et exposition publique souligne le sentiment d’injustice et le défi de traverser cette rupture médiatique.
Retour sur l’annonce de divorce de Reg
En janvier 2024, Inès et Reg avec Kévin Debonne annoncent publiquement la fin de leur mariage après plusieurs années de relation. Le message qu’ils publient résonne comme un adieu respectueux, un hommage à ce qui a été partagé et à leur volonté de préserver le bon tout en se séparant sans douleur inutile. Cette séparation, volontaire et décidée à deux, peut susciter un flot d’interprétations dans l’opinion publique, reflétant les émotions et réactions liées à ce moment délicat de leur vie.
Dès les premiers jours, Inès Reg fait face à des rumeurs et spéculations : certains imaginent que son divorce est causé par une ruée vers l’argent, un succès soudain ou une transformation physique suspecte. Très vite, ces hypothèses deviennent synonyme de trahison aux yeux de beaucoup, et Reg doit gérer cette pression tout en restant fidèle à son expérience et à sa vie personnelle.
Dans son passage à l’émission Conversation avant la fin du monde, Inès Reg explique comment elle a vu défiler devant ses yeux des messages haineux et humiliants, provenant d’internautes de tous âges. Les mots jetés comme des pierres, parfois signés, souvent anonymes, ont marqué son expérience et montré l’impact du harcèlement en ligne, transformant ce moment médiatique en une épreuve personnelle.
En relisant les réactions, je remarquais aussi bien des jeunes de 18 ans que des personnes de 60 à 65 ans écrire des messages du type : “Tu as perdu du poids, alors tu le quittes” ou encore : “Tu gagnes de l’argent, donc tu n’as plus besoin de lui”. Ces messages pouvaient être blessants et plus lourds qu’ils n’en avaient l’air, reflétant le jugement constant et l’attention intrusive portée à la vie de Reg, même encore après son divorce.
Celle qui a retrouvé l’amour, confie que certains commentaires allaient jusqu’à brocarder la différence de milieu, de couleur ou de parcours, montrant combien le regard public peut mêler misogynie, racisme et superficialité. Aussi, ces remarques soulignent l’intensité du jugement auquel Reg a été venu confrontée, illustrant la complexité de gérer sa vie personnelle sous l’œil attentif et critique de tous.
Avant, raconte-t-elle, on entendait souvent : elle, c’est la rebeu ; lui, le blanc qui l’a aidée à monter. Puis, d’un coup, tout bascule : on remet tout en question simplement parce qu’elle a perdu du poids, qu’elle a avancé, qu’elle a évolué. Ces remarques montrent la rapidité avec laquelle le regard des autres peut évoluer et la complexité d’assumer sa transformation personnelle sous le jugement constant de la société.
La peur de divorcer et la perception de Reg
Lorsqu’une journaliste lui demande si elle a ressenti de la peur à l’idée de divorcer, Inès répond avec honnêteté et une pointe révoltée. Ce qui choce, selon elle, ce n’est pas seulement la séparation, mais la perception que la société a de cette étape. Pour elle, ce regard critique, qu’en pensant, souligne combien le jugement social peut peser et influencer la manière dont Reg vit ce moment difficile et intime.
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Oui, c’est tout à fait normal d’avoir peur, et je pense que ce ressenti existe parce que, dans notre environnement, divorcer reste mal vu, presque associé à un échec ou à quelque chose de honteux. Pour Reg, cette pression montre que quelque chose ne reste pas juste un choix personnel mais devient un jugement collectif, révélant encore une fois la force des opinions autour de sa vie privée.
Elle évoque cette culpabilisation presque tacite, l’idée qu’une femme qui divorce devrait garder le silence, éviter les regards et porter les jugements seule. Souvent, ce sont les femmes qui paient le prix fort, tandis que l’homme reste dans l’ombre, un schéma que j’ai trop vu se répéter et qui montre à quel point la pression sociale rend encore plus difficile ce que vit Reg.