Ce samedi, 29 novembre, Jean-Louis Aubert était invité de Léa Salamé dans Quelle époque. Le chanteur a révélé la méchanceté de sa mère envers lui enfant, avec un geste cruel sur son hamster, provoquant un malaise sur le plateau.
Ce samedi, 29 novembre, dans Quelle époque, Jean-Louis Aubert, chanteur et ex-leader du groupe Téléphone, était venu avec Hugo Clément et Léa Salamé pour assurer la promotion de son concert à Paris, La Défense Arena, qu’il donnera le 13 décembre prochain. Lors de l’interview, il a partagé des anecdotes sur son enfance, ses rapports parfois ambigus avec sa maman, et même à 70 ans, cela a mis mal à l’aise tout le monde, rappelant combien la vie personnelle d’un artiste peut toucher le public.
Poussé par Hugo Clément, Jean-Louis Aubert a évoqué l’attachement qu’il avait enfant pour son hamster de compagnie, mais sa maman, décédée au début d’année, ne l’aimait pas beaucoup et, à une époque où la cruauté envers les animaux n’était pas encore bien admise aujourd’hui, elle a fait un geste impardonnable en tuer son petit animal en le jetant par la fenêtre, ce qui a profondément marqué Jean-Louis Aubert et tous ceux qui connaissent cette histoire.
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Jean-Louis Aubert, un enfant difficile
En racontant son enfance, Jean-Louis Aubert a expliqué qu’il se sentait souvent comme un hamster dans une roue, tournant en vélo dans le jardin de la sous-préfecture, partageant des moments avec son frère. Sa mère l’a jeté par la fenêtre un jour, ce qu’il déclare aujourd’hui, amusé, même si le public, et notamment Hugo Clément, fervent défenseur de la cause animale, reste parfois mal à l’aise devant ces souvenirs. Le chanteur persiste et signe, révélant les atrocités commises par sa famille, montrant toute la force et la résilience qui ont façonné son parcours artistique.
Quand Jean-Louis Aubert était petit, il raconte qu’une fois où il était vraiment dissipé, sa maman l’a suspendu par la fenêtre un jour, ce qu’il a poursuivi ainsi dans ses anecdotes souvent violentes, mais qu’il sourire aujourd’hui. Le chanteur assure qu’il a été heureux enfant, né à Nantua, dans l’Ain, en 1955, fils de Yves Aubert, sous-préfet, et de Nicole, son épouse décédée à 95 ans, une femme de foyer qui s’occupait de ses trois enfants, montrant ainsi combien les souvenirs d’enfance, même difficiles, façonnent la personnalité et la résilience d’un artiste.
Jean-Louis Aubert, enfantdifficile, a souvent déclaré dans ses interviews qu’il avait été envoyé aux scouts par ses parents et qu’il était aussi enfant de chœur dans l’espoir de canaliser son énergie. Les nombreux déménagements imposés par les fonctionspréfectorales de son père ont joué un beaucoup dans les difficultés de ce chanteur, qui a connu l’Ain, puis Oise, et enfin Paris, montrant ainsi à quel point une enfance connue et également mouvementée peut forger la personnalité et la résilience d’un artiste.