Au micro, Invité face à David Barbet, Popeck, humoriste français, a livré une amusante anecdote : le sujet d’un souvenir ayant eu lieu sur le tournage de Rabbi Jacob, avec Louis de Funès, grand comédien, dont la personnalité, illustrant son art, reste marquante malgré son statut d’artiste décédé en janvier 1983.
Lors d’une interview récente accordée à David Barbet, j’ai trouvé intéressant que le comédien Popeck soit revenu d’abord sur son entretien avec notre confrère, où il a parlé et évoquer avec recul ses souvenirs de tournage, notamment ceux du film Rabbi Jacob, réalisé par Gérard Oury en 1973 : à 90 ans, l’acteur a profité de cet échange pour partager son admiration, quand il décrit Louis de Funès — aussi cité comme Louis De Funès — comme le plus grand comique français, en observant son comportement sur le plateau, ses interactions avec les autres comédiens, un regard que je reconnais pour l’avoir souvent entendu chez ceux qui ont vraiment vécu la scène.
Dans sa carrière, Popeck a participé à des tournages inoubliables, comme Rabbi Jacob, La Grande Vadrouille, Le Corniaud ou La Folie des Grandeurs, tous des films comiques majeurs qui mettent en avant Louis de Funès et plusieurs comédiens. Sur chaque plateau, le scénario mêle humour et situations burlesques, et Popeck a partagé quelques-uns de ses souvenirs, réunissant moments uniques autour de scènes mémorables, tout en mêlant sa présence discrète mais marquante à l’énergie de l’équipe.
Louis de Funès, un comique reconnu par ses pairs
Pour Popeck, Louis de Funès a toujours été une source d’admiration : ce comique français, préféré sur le plateau, reste considéré comme le plus grand comique français, même si ne le savait pas à son époque. C’est celui dont la magie et invention permanente continuent de fasciner, et quand on cite un nom de film à la télé aujourd’hui, c’est souvent De Funès, bien sûr, qui revient en tête, marquant durablement tous ceux qui ont eu la chance de tourner avec lui.
Pour Popeck, Louis de Funès reste un acteur unique, doté d’une capacité incroyable à inventer constamment, surprendre et créer des situations comiques inédites. Sur le tournage de Rabbi Jacob, son inventivité se ressentait dans chaque scène, où son énergie à composer ses personnages et à orchestrer les interactions avec ses partenaires était à la fois impressionnante et exigeante, offrant une expérience inoubliable à tous ceux qui ont travaillé à ses côtés.
Popeck raconte des souvenirs de tournage et le comportement de Louis de Funès
Lors d’une scène mémorable, Popeck a partagé une anecdote illustrant la façon de travailler et de se comporter de Louis de Funès. Selon lui, à un moment précis sur le plateau, Gérard Oury lui dit : « Rentrez sur scène », et juste derrière, De Funès lui demande s’il a entendu et lui indique de rentrez le plus vite possible et de ressortez. Chaque réplique que l’on vous donne, il la prend avec soin, et même moi, encore, je me souviens de ce rythme imposé, qui montrait son exigence et son talent unique devant vous tous.
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Pour Popeck, Louis de Funès était incroyable dans sa façon d’être et savait parfaitement assumait son côté tout pour lui, quasiment, dans ces films, donnant à son image une force unique. David Barbet constate à quel point même sur le plateau, Popeck remarque comment il aussi impose son style, et dans chaque scène, Il était clair que alors, sa présence et son énergie dominaient, laissant une empreinte marquante dans la mémoire de tous.
Pour Popeck, il est confirmé que Louis de Funès avait sa manière unique d’être comme ça, tout pour lui, mais rien que pour les autres, à l’image des grands comiques comme Fernandel ou Coluche. Lui, moi, n’a jamais atteint le grand vedettariat, ni pas cherché à ce niveau, et parfois se sentait trop fainéant. Certains comédiens n’avaient pas accepté cette manière de parler, mais Popeck l’a comprise et estime que c’était la marque des plus grands, reflétant le talent et l’exigence d’un artiste unique.