30 000 messages insultants : Hinaupoko Devèze prend la parole pour protéger les Miss

Hinaupoko Devèze, invitée de l’émission Quelle époque ce samedi aux côtés de Frédéric Gilbert, a été interrogée sur Julie Zitouni et Aïnhoa Lahitete. Elle a appelé à ne plus parler d’elles et à les laisser tranquilles, insistant sur le respect et la sérénité dont elles doivent bénéficier.

Hinaupoko Devèze, lors de sa première semaine à cent à l’heure comme nouvelle Miss France, a été confrontée à de nombreuses interviews télé, radio et presse, devant affronter une lourde polémique. Le lendemain de la cérémonie, une vidéo Snapchat privée de Julie Zitouni et Aïnhoa Lahitete a été exhumée par Aqababe. Les deux ex-Miss Aquitaine et Miss Provence, destituées, insultent violemment plusieurs Miss du top 12, créant un contexte médiatique intense dès ses débuts.

Depuis sept jours, la violence sur les réseaux sociaux n’a pas cessé. La société Miss France et les comités régionaux, après s’être mis d’accord, ont demandé aux deux Miss de rendre leurs écharpes, sans prévoir un tel raid numérique. Sur le plateau de Quelle époque ce samedi, Hinaupoko Devèze, accompagnée du président de la société, Frédéric Gilbert, a tenu une mise au poing, condamnant les 30 000 messages insultants reçus par les deux femmes.

“Est-ce que vous l’avez aidée en la destituant ?”

Lors de l’acte 4, Hinaupoko Devèze et d’autres subissent une vague de haine et de harcèlement sur les réseaux sociaux. Miss Provence a reçu 30 000 messages insultants suite à cet accident, et cela ne s’arrête jamais, dénonce Frédéric Gilbert. Sur le plateau, Hugo Clément rappelle que la société Miss France n’a peut-être pas aidé Julie Zitouni en la destituant. Le boss persiste, signe, et estime que cette décision était inéluctable pour protéger Hinaupoko Devèze.

Pour Hinaupoko Devèze, il a fallu enlever le titre afin de ne pas maintenir une Miss alors que la bienveillance est essentielle. Son discours et ce qu’elle véhicule lors du concours n’étaient pas fair play, et la réaction a conduit à une destitution inévitable, comme l’explique Frédéric Gilbert. Interrogée par Léa Salamé, Hinaupoko Devèze qui avait déjà répondu à de maintes reprises à la question, semblait agacée de devoir à nouveau parler et a appelé les gens à ignorer les deux femmes concernées.

Hinaupoko Devèze : Exaspérée par une polémique qui l’échappe

Chaque fois qu’une polémique surgit, Hinaupoko Devèze, jeune Miss, rappelle qu’aujourd’hui les mesures ont été prises et que les deux femmes ont été sanctionnées. Elle explique avec patience qu’elles sont excusées, qu’elles n’ont tué personne et que cette affaire ne la concerne pas. À chaque intervention, elle rappelle à Léa Salamé qu’il n’est pas nécessaire de se positionner, que l’erreur était de faire cette vidéo, et qu’il est temps de passer à autre chose. Voilà, un message clair de sérénité malgré l’agacement petit peu ressenti.

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